Stele of godess Epona

1XX - 2XX | 2th century - 3th centuryLimestoneH x L x P: 40.5 x 31 x 12.5 cm

Ce bas-relief représentant Épona, déesse de la fécondité, des bêtes de trait et des chevaux, ainsi que des cavaliers et des voyageurs, a été trouvé dans la deuxième moitié du 19e siècle sur le site du vicus gallo-romain de Dalheim. Il est entré en 1899 dans les collections du musée.

Épona, représentée de face, est assise sur une jument à droite, dont la tête est ornée de plumes. De sa main droite, la déesse tient sur ses genoux une coupe remplie de fruits ; de sa main gauche, elle guide sa monture. Sa tête se présente de trois quarts, ses cheveux ondulés sont séparés par une raie au milieu et ramenés légèrement vers l’arrière. La déesse est vêtue d’un long manteau, présentant des plis symétriques et quelque peu raides. Les contours des bipèdes latéraux gauches de la jument sont tracés en creux.

Le bas-relief était à l’origine polychrome.

Le nombre de représentations d’Épona découvertes sur le site de Dalheim témoigne de l’importance de son culte à l’intérieur du vicus, fait qui est étroitement lié à la fonction de Ricciacus – Dalheim comme important relais routier sur la voie romaine reliant Metz à Trèves.

Texte | CC BY-NC | Fabienne Pietruk

Ce bas-relief représentant Épona, déesse de la fécondité, des bêtes de trait et des chevaux, ainsi que des cavaliers et des voyageurs, a été trouvé dans la deuxième moitié du 19e siècle sur le site du vicus gallo-romain de Dalheim. Il est entré en 1899 dans les collections du musée.

Épona, représentée de face, est assise sur une jument à droite, dont la tête est ornée de plumes. De sa main droite, la déesse tient sur ses genoux une coupe remplie de fruits ; de sa main gauche, elle guide sa monture. Sa tête se présente de trois quarts, ses cheveux ondulés sont séparés par une raie au milieu et ramenés légèrement vers l’arrière. La déesse est vêtue d’un long manteau, présentant des plis symétriques et quelque peu raides. Les contours des bipèdes latéraux gauches de la jument sont tracés en creux.

Le bas-relief était à l’origine polychrome.

Le nombre de représentations d’Épona découvertes sur le site de Dalheim témoigne de l’importance de son culte à l’intérieur du vicus, fait qui est étroitement lié à la fonction de Ricciacus – Dalheim comme important relais routier sur la voie romaine reliant Metz à Trèves.

Texte | CC BY-NC | Fabienne Pietruk

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