sculpture - née le 19 décembre 1942 à esch/alzette - études de la céramique et de
la sculpture à l'istituto d'arte sesto fiorentino et à porta romana, études de peinture
et dessin à la grande chaumiére à paris - membre titulaire du c al, oü elle expose
depuis 1965 - expose à la biennale des jeunes à esch/alzette - oeuvres sacrales
dans les églises et chapelles de merl, dudelange, bascharage, lellig, kanfen et
"utigliano - expose au luxembourg et à l'étranger - premier prix de la sculpture à la
oiennale des jeunes à esch/alzette en 1977 - oeuvre au musée d'histoire et d'art à
uxembourg - vit à esch/alzette
expositions collectives et personnelles (sélection)
1967: galerie d'art municipale, esch/alzette (p)
1974: galerie d'art municipale, esch/alzette (p)
1977: cercle municipal, luxembourg
1983: galerie d'art municipale, esch/alzette (p)
1984: villa vauban, luxembourg
1985: galerie simoncini, luxembourg (p)
1989: galerie simoncini, luxembourg (p)
1990: galerie an der bergstrasse, weinheim (p)
1991: galerie im kunstturm, essen (p)
1992: galerie simoncini, luxembourg (p)
appréciations
? ce qui caractérise surtout ses figurines, ce sont moins les contours ondulants et
étrangement accidentés de leurs volumes prononcés, que plutót leurs formes
mêmes; formes violées, déchirées et ouvertes laissant voir des corps à bréches
déantes à l'instar des moulages brisés à coup de marteau; tout ceci confère à ces
oeuvres une note de surréalisme pathétique. monumentale. voire même parfois un
peu théâtrale.
jos walentiny, luxemburger wort, le 23 décembre 1967
? les sculptures de bettina scholl-sabbatini, elles, sont exclusivement vouées au
corps féminin. il s'agit, à quelques exceptions prés, de torses sans téte, ni bras, ni
jambes. il apparaît que l'important dans ces sculptures n'est pas la masse. le
volume, mais c'est le creux.
daniele wagener, luxemburger wort, le 4 mai 1983
? bettina scholl-sabbatini, die bereits vor einiger zeit ein ihr eigenes wachs-bronze-
verfahren entwickelt hat, versuchte vigelands idee in ihrem gedankenbereich
unterzubringen, zu konkretisieren, das heisst zu modellieren. daraus entstand eine
vielfalt von zierlichen skulpturen, deren vegetative struktur den rahmen für all die
«leinen, symbolischen geschópfe bildet.
elisabeth vermast. létzeburger journal. le 4 février 1989
pour savoir davantage
claude wolf, choisir, novembre 1989
p. bettendorff, luxemburger wort, le 30 juin 1990
danièle michels. revue, le 29 janvier 1992
SCHOLLER Jean-Marie 1956
peinture, dessin - né le 24 novembre 1956 à luxembourg - cours dans une
académie d'art à munich, cambiste de profession - peinture figurative, paysages,
nature - "bilder aus der altstadt und den vororten luxemburgs, aus vertráumten
dorfecken und aus romantisch-nostalgischen burgen und schlóssern. aquarell, tinte,
sowie kohle und bleistift, alle diese techniken sind für diese art von malerei
oesonders geeianet', norbert, lux-post, juin 1985
expositions collectives et personnelles (sélection)
1980: source kind, mondorf-les-bains (p)
1981: nouveau théâtre, luxembourg
1981: centre culturel, pétange
1982: château tudor, rosport (p)
1982: cercle municipal, luxembourg
1983: theaterstuff, luxembourg (p)
1985: château, bourscheid (p)
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