ROETTGERS Paul, oesling, huile, 1991
987: hótel de ville, st-vith (p)
1988: centre culturel, wellenstein (p)
1989: tutesall, luxembourg
1991: cháteau wirtgen, diekirch (p)
1992: château, vianden (p)
'992: galerie schweitzer, mondorf-les-bains (p)
appréciations
? dans certaines de ces toiles il se manifeste une violence proche d'un néo-
fauvisme qui pourrait s'étre inspiré de vlaminck. l'esquisse - notez que l'élément
réaliste joue chez roettgers toujours un róle important - n'est plus qu'un prétexte
respectivement pour charger et surcharger le sujet proprement dit et la trame
auxiliaire de couches de pâtes parfois surabondantes formant çà et là des traînées
de reliefs à arrêtes saillantes.
jos walentiny, luxemburger wort, le 2 décembre 1966
? l'huile sur papier est une technique qui réussit admirablement à paul roettgers: ses
peintures prennent appui sur les transparences de l'eau, des cieux, les nuances de
la terre ou des champs qui s'étalent devant nos yeux à perte de vue. les couleurs
qu'il emploie sont trés vivantes, mais pas forcément trés vives: le bleu, le brun, le
vert. les brossements ou les diluements de la peinture ménagent des effets
OX esthétiques trés agréables.
b , encarni schumann-vaquero, luxemburger wort, le 13 avril 1984
» ? paysages de méditation. images d'un état intérieur. les huiles de paul roettgers
MEE, sont des oeuvres d'un artiste qui sent avec force le monde et les choses, qui crée
+. des paysages intérieurs à l'image de ce qu'il voit, reflets harmonieux de paysages
=" authentiques. qui mélange intimement observation et sensibilité.
nelly lecomte, luxemburger wort, le 15 février 1991
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