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DEB, 
3ODA Fernand, rezlop, 1985 (miisée d mistorre &ío. n Tuxembous ; Le 
.986: int. kunstmarkt, stockholm 
1987: galerie baecker, cologne (p) 
1987: galerie léa gredt, luxembourg (p) 
1988: gummesons konstkalerie, stockholm 
(988: palazzo della triennale, milan 
989: XXéme biennale, sao paulo 
990: galerie léa gredt,luxembourg (p) 
appréciations 
° sa “manière” parfois peut faire penser au courant des “nouveaux fauves” et sa 
vision du monde s'inscrirait dans la mouvance "verte", mais là s'arrêtent les 
"références" à un climat "rodien" qui reste spécifique. sa thématique touche au plus 
profond de l'étre - un étre qui proclame de toute évidence les “droits de la nature”, 
une nature puissante, envahissante qui défie l'homme et le temps. la vie plus forte 
que la machine. il juxtapose éléments "naturels" et éléments géométriques à la 
limite de l'abstraction. 
oseph paul schneider, luxemburger wort, le 27 septembre 1985 
° roda hat kein romantisches verhältnis zur landschaft, er agiert nicht als moderner 
caspar david friedrich. seine landschaften werden ge- und benutzt, wogegen sie 
sich bisweilen zu wehren scheinen... roda malt die auseinandersetzung des 
menschen mit seiner umwelt, ein freund-feind-verháltnis, welches noch keiner derart 
unmittelbar in der griff bekommen hat wie er. 
- heinz ohff, catalogue de la XXéme biennale de sao paulo, 1989 
T7. ? jusque dans les reflets chatoyants de telle floraison, un imperceptible quaarillage 
impose de l'ordre, à la facon des baguettes de plomb qui maintiennent les verres 
d'un vitrail, et le tableau en a vraiment la transparente légéreté. au contraire, dans la 
prédilection de plus en plus affirmée pour la série, toute rigidité est bien sür bannie, 
le raffinement y interdit tout ennui. 
ucien kayser, letzeburger land, le 9 mars 1990 
pour savoir davantage 
ios jacquemoth, tageblatt, le 28 avril 1984 
oo.