expositions collectives et personnelles (sélection)
1939: exposition universelle, new york
1946: unesco, paris
1946: galerie paul brück (p)
'950: bianco e nero, lugano
'950: salon de mai, paris
1951: biennale, menton
1953: biennale sao paulo
[953: stedelijk museum, amsterdam
eu 1954: les iconomaques, luxembourg
- 1955: galerie arnaud, paris (p)
1958: modern art festival, new york
1958: salon comparaison, mexico
1958: exposition universelle, bruxelles
1959: galerie arnaud, paris (p)
1959: galerie horn, luxembourg (p)
1960: institut français, mayence (p)
1960: prix marzotto, milan et munich
1961: galerie municipale, esch/alzette (p)
1961: galerie haute feuille, paris (p)
1966: orangerie, mondorf-les-bains (p)
1967: exposition universelle, montréal
1970: palais des beaux-arts, bruxelles
1971: galerie municipale, esch/alzette (p)
1972: galerie kutter, luxembourg (p)
1975: galerie kutter, luxembourg (p)
1977: galerie bp, anvers (p)
19/8: centre moscicki, bruxelles (p)
1979: galerie kutter, luxembourg (p)
1979: musée de la ville, luxembourg (p:
1980: galerie kutter, luxembourg (p)
1982: galerie kutter, luxembourg (p)
1984: palais palffy, vienne (p)
1985: galerie kutter, luxembourg (p)
f 1986: galerie kutter, luxembourg (p)
m 1986: centre noppeney, differdange
1988: 40 künstler aus luxemburg, cologne
1989: galerie kutter, luxembourg (p)
1990: galerie kutter, luxembourg (p)
(991: musée de l'état, luxembourg (p)
1992: galerie kutter, luxembourg (p)
appréciations
? form und farbe verschmelzen in seinen besten werken zu einer fest geschlossenen
stileinheit. den vollen wert der bilder von joseph probst muss man zuerst in der
ausdrucksform suchen. vor seinen stilleben und figuren empfindet man die
ergriffenheit, mit der er die àussere wirklichkeit in sich umschmilzt, umformt.
umwandelt, um nur die reine form zurückzubehalten.
léo lommel, luxemburger wort, le 27 avril 1946
? les formes se sont à la fois élargies et précisées, le coloris s'est fait en même
temps plus sonore et plus fin. jamais encore joseph probst n'a témoigné autant
d'assurance, ce peintre en effet évolue en pleine lumiére. la clarté méme de sor
écriture, la netteté de ses tons et de ses accords n'admettent qu'une extréme
FE justesse.
e joseph-emile müller, tageblatt, le 7 avril 1951
20 ? plus que jamais ces toiles s'imposent par l'extraordinaire richesse de la matiére
celle-ci est par elle-même élément de plasticité. sur un fond aux teintes neutres
O mais déjà fortement travaillées et nullement transparentes, le couteau à palette
entasse couche sur couche d'une páte tantót grumeleuse et séche, tantót trés
A nourrie et presque visqueuse, mais toujours épaisse, croûteuse, ébréchée,
8. discontinue.
'ean-paul raus, letzeburger land, le 10 novembre 1961
JIA