du grand séminaire de luxembourg et le coeur de l'église de steinsel - expose au
luxembourg et à l'étranger - oeuvres au musée national d'histoire et d'art à
luxembourg, au keramik-museum à hôhr-grenzhausen, au hetjensmuseum à
düsseldorf et au musée ariana à genève - vit à capellen
expositions collectives et personnelles (sélection)
1977: galerie paul brück, luxembourg
1978: galerie 66 h.g. krupp, hofheim/taunus
1980: galerie d'art municipale, esch/alzette (p)
1981: galerie intérieure, paris (p)
1981: galerie la cité, luxembourg (p)
1984: keramik-museum, hóhr-grenzhausen
1984: galerie sünnen, bech-kleinmacher
1985: galerie la cité, luxembourg (p)
1986: galerie elisabeth schneider, freiburg
1987: rathausgalerie, dillingen (p)
1988: galerie capitello, hóhr-grenzhausen (p)
1988: galerie la cité, luxembourg (p)
1989: galerie le bateau ivre, redu (p)
1989: l'europe des céramistes, auxerre
1990: hetjensmuseum, düsseldorf (p)
1990: keramik-galerie bówig, hannovre (p)
1990: galerie le cube, paris (p)
1991: art contemporain, bruxelles
appréciations
> les sculptures récentes de pit nicolas nous communiquent la chaleur de la terre.
l'artiste ne cesse d'approfondir son étude de la forme et des possibilités de la
matière, et son chemin le mène vers des nouvelles structures aux lignes convexes,
plus élancées que ses compositions antérieures, demi-circulaires. la forme a
sensiblement changé, mais les oeuvres de pit nicolas continuent à nous transmettre
- par un éclatement intérieur symbolique et irréel - le message de la matiére qui
évolue et, par extension, l'idée de l'art antistatique.
encarni schumann-vaquero, luxemburger wort, le 12 novembre 1984
? p. nicolas fait souvent référence à la terre, à ses jointures, à ses accidents, à ses
dépressions et ses fentes, déchirant la peau, le tégument pour diviser la matiére de
l'espace, exhiber ses failles et ses différences. ces céramiques sont belles, je ne
saurais mieux dire, pit nicolas a le sens de l'essentiel. il a l'intuition de ses infimes
ruptures qui font signe.
c. malans, luxemburger wort, le 29 janvier 1986
? pit nicolas sieht seine stelen nicht als reine figuren, das architektonische element
ist wichtig: die skulpturen, deren ursprung in der gefásskeramik liegt, leben durch
die spannung zwischen hülle und innenráumen. geheimnisvollen behausungen
gleich, sind sie mit rissen und aufbrücken versehen. der raum im raum, das durch
olatten zum volumen aufgebaute geháuse mit kommunizierenden, gleichzeitig
oeunruhigenden, neugierig machenden óffnungen, stellt den hauptanziehungspunkt
für die umwelt, für den betrachter her.
klaus detzel, luxemburger wort, le 31 décembre 1988
? die "barke" von pit nicolas in hellem lehm und raku gebrannt, kónnte auch ein
totenschiff" sein, das den ágyptischen pharaon zu osiris in die unterwelt führt,
autlos schwebend. auch der hochgeschossene pfeil erinnert an archaische
werkzeuge, an vergangenes. die tonskulpturen des künstlers sind immer wieder
oezwingend in ihrer strengheit und konsequenz der form und der linie.
elisabeth vermast. létzebuerger journal, le 13 juillet 1991
pour savoir davantage
richard audry, tageblatt, le 21 juin 1980
jean-michel klopp, luxembourg magazine n? 6/1986
elisabeth vermast, létzebuerger journal, le 18 novembre 1987
marie-anne lorgé, luxembourg magazine n? 17/1991
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