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-EYDER Jean, peinture, 1991 (galerie de luxembourg, 1991) 
appréciations 
? les oeuvres de jean leyder apparaissent comme autant d'étapes d'une profonde 
méditation, d'une ardente quéte. l'austerité qui est au bout n'est plus alors 
synonyme de pauvreté, de tristesse. au contraire. il y a quelaue chose de 
somptueux dans cette peinture. 
lucien kayser, luxemburger wort, le 19 mai 1973 
" nur mit sparsamsten, einfachsten mitteln schafft jean leyder zarte schattierungen 
und entwickelt trotz der beschránkung auf einige wenige geometrische grundformen 
eine kompositorische vielfalt und formensprache auf kleinster fláche. 
ingeborg kuhn-régnier, luxemburger wort, le 10 février 1988 
? jean leyder pousse l'abstraction à l'extréme; les contrastes noirs et blancs et les 
tons gris caractérisent ces oeuvres, sur lesquelles l'artiste montre une prédilection 
pour les formes rectilignes, géométriques. 
colette mart, républicain lorrain, le 24 février 1988 
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