1940: galerie wierschem, luxembourg (p)
1983: villa vauban, rétrospective, luxembourg (p)
appréciations
? jean-pierre lamboray est peut-être le plus grand “virtuose” de chez nous. nous ne
trouvons pas aujourd'hui un tableau comparable au “calvaire” d'il v a deux ans,
dans lequel lamboray est supérieurement artiste.
willy gilson, luxemburger zeitung, juin 1932
° lamboray ist wie kein zweiter der maler und der zeichner unseres óslings und
unserer ardennerlandschaft. wenn es wahr ist, dass eine zeichnung oder ein
E gemálde einen seelenzustand darstellt, dann trifft es bei lamboray zu. jeder strich
dieser zeichnungen besagt die ganze liebe und das ganz grosse verständnis. das
- er für die schónheiten unseres heimatlichen nordens hegt.
be tageblatt, le 22 septembre 1944
? qui a vu une fois un grand tableau de lamboray se souvient toujours avec
{ | ravissement de la secrète attirance qu’a subie le regard plongeant dans un cirque
de masses primaires. là respire encore l'effroi du chaos de la création. mais déjà
l'esprit divin a ordonné la matiére en puissantes assises horizontales qui
contrebalancent à merveille la chute vers le point de mire de la perspective
aérienne, château ou pont presque imperceptibles, mais foyer obligatoire de la
structure vers lequel convergent les lentes coulées cosmiques et d’où monte le
dégradé des vapeurs et des brumes.
|. hirsch, luxemburger wort, le 4 mars 1982
AMBORAY Jean-Pierre, vallée de l'our, huile, 1935 (nos cahiers n°3/1982)
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