d'art à luxembourg - vit a luxembourg 
expositions collectives et personnelles (sélection) 
1959: biennale, paris 
1960: bianco e nero, lugano 
1963: petite sculpture, madurodam 
1966: biennale de middelheim, anvers 
1967: galerie interart, luxembourg (p) 
1973: biennale, budapest 
1976: salon international, grand palais, paris 
1977: galerie paul brück, luxembourg (p) 
1984: galerie de luxembourg, luxembourg (p) 
1984: villa vauban, luxembourg 
(987: galerie de luxembourg, luxembourg (p) 
988: peintres luxembourgeois, cologne 
1990: galerie de luxembourg, luxembourg (p) 
991: maison de la culture. moscou 
appréciations 
? kohl behált im grossen ganzen die naturalistische grundform bei; er macht sie 
edoch entweder praller oder knapper oder kantiger - denn letzten endes sucht er 
die beredsamkeit des plastischen volumens. am stárksten scheint mir das werk, das 
er “au repos" nennt. es ist kraftvoll und saftig und gehôrt zu dem erfreulichsten. das 
QUI Charles buste de ci man in diesem salon findet. 
oseph-emile müller, tageblatt, le 3 octobre 1956 
? l'artiste à le goüt de la caresse pour le matériau et le transmet avec art aux 
Visiteurs. les volumes sont trés bien proportionnés. les courbes sont suaves, la 
'umiére s'y accroche avec bonheur. le burin a fait le gros du travail, et le poncage le 
reste, c'est à dire tout. un travail lent et difficile, qui a su allier la technique et 
l'inspiration. 
michel hervé, tageblatt, le 28 avril 1977 
? pour figurer l'exposition de charles kohl, sans doute que le personnage biblique 
de lazare convient le mieux. lazare, sorti à peine de son tombeau, le corps encore 
entouré de bandelettes, le voilà: dans les formes voilées, corps ou faisceaux, dans 
leur surgissement, l'effort de se dégager. autant de variations, au long d'une 
exposition qui impressionne par son homogénéité, quelque soit le support, le 
matériau, sculptures, terres cuites, fusains. en plus, il y a là une facon qui captive, 
de reprendre les sujets classiques, torses, colonnes, cariatides, de les intégrer dans 
une démarche résolument moderne. l'art de charles kohl retrouve le jet et les plis, le 
drapé de telles statuaires, grecque ou autre. ce qui transparaît. c'est un autre corps 
c'est l'homme contemporain. 
lucien kavser. dépliant galerie de luxembourg, 1984 
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«OHL Charles. encre. 1976 
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