1951: grand palais, paris
1955: galerie artis, bruxelles (p)
1955: galerie bradtké, luxembourg (p)
1958: grand palais, paris
1963: galerie chardin, paris (p)
1965: bibliothèque de la ville, anvers
1970: galerie municipale, diekirch
1970: galerie chardin, paris (p)
1971: galerie alexandra, nice
1972: 5ème biennale, trouville
1978: ancienne abbaye, prûm
1980: palais des congrès, québec
1981: galerie paul orück, luxembourg
1982: palais des expositions, strasbourg
1982: villa vauban, luxembourg
1982: galerie chardin, paris (p)
1984: zeemanshuis international, anvers (p)
1985: katholische akademie, tréves (p)
1987: ancienne abbaye, prüm
1988: espace culturel latina, paris
appréciations
? son classicisme de facture n'en est pas moins libéré de tout académisme, la forme
est sobre, le trait sür et la touche bien appliquée. outre ses portraits qu'il nous a
présentés au salon national indépendant, edmond goergen a fait oeuvre
d'illustrateur sensible autant qu'habile.
revue moderne des arts, 1er septembre 1948
? ses vues froidement révélatrices sur les villages et les paysages finiront,
invariablement, par découvrir quelque part la présence de l'humain, qui avec
succès, réagira contre l'emprise des surfaces, des choses et des couleurs
stagnantes. pour lui, rien n'est paisible, rien n'est reposant, si ce n'est la chaleur
cordiale et spirituelle de la créature de dieu qu'il suffit d'évoquer par une simple
laque de rouge, pour que, du coup, la nature (vue à travers un tempérament) se
ressente d'un confort indéniable.
pierre grégoire, luxemburger wort, le 19 janvier 1955
? voici les paysages de neige si caractéristiques d'edmond goergen: constructions
puissantes, animées par des arbres dénudés aux branches mourantes, nerveuses,
pleines de vie. retenons encore ses deux portraits de jeunes filles, l'un calme et
paisible, l'autre vibrant avec les accords du piano.
blanche weicherding-goergen, luxemburger wort, le 27 septembre 1960
° peintre du luxembourg, goergen dépeint avec une sensibilité très riche les
paysages de ce beau pays, aux aspects si variés. les maisons trapues, les clochers
pointus, les routes tournantes, les hauteurs enveloppantes sont évoqués, presque
toujours sous la neige, avec un réalisme plein de séve, proche de celui des
flamands. la páte de sa peinture est somptueuse, ses formes amples et pleines. il
traduit le calme profond d'un monde rustique et familier, qui préserve au coeur de
'europe moderne, quelque chose de l'àme profonde de l'ancien temps.
'aymond charmet, revue des arts, février 1963
? edmond goergen malt "konservativ", bleibt seiner überzeugung und sich selbst
darin treu, natur und landschaft und stadt und menschen so darzustellen, wie er sie
sben versteht - abschiednehmend und wiederfindend zugleich. eine leise wehmut
liegt Uber seinen bildnissen in 6l auf leinwand. anders als in seinen zeichnungen,
die skizzenhaftes besangen, strenge sachlichkeit maltechnischer vorbereitung. sie
wirken wie gerüste zum bau, nicht "eigentlich", eher wie studien. besonders der
restaurator goergen braucht diese essays.
iürgen wichmann, dépliant "katholische akademie trier”, 1984
pour savoir davantage
luxemburger wort, le 14 janvier 1953
marcel simon, létzebuerger journal, le 3 décembre 1955
evy friedrich, revue, le 4 janvier 1975
a. heib, luxemburger wort, le 7 février 1985
AA