1988: château, bourglinster (p)
1989: 40 künstler aus luxemburg, cologne
1990: salon de mai, paris
1991: galerie de luxembourg, luxembourg (p)
appréciations
> jean-pierre georg expose deux sculptures en marbre et une en bois de cerisier.
disons tout de suite que cette dernière, représentant un couple, est assez
expressive et fort élégante. le marbre est ici pris dans son ensemble, le bloc reste
massif, les nervures et la couleur du matériau soulignent les formes taillées par
l'artiste, qui maintient soigneusement ses sculptures en équilibre en leur conférant
une expression trés cohérente.
fernand weides, républicain lorrain, le 12 février 1976
? du monde animal, ces sculptures tirent en tout cas leur force, leur vigueur, mot
plus exact en l'occurence. car elles ont quelque chose de ramassé, de massif,
d'autre part, quand jean-pierre georg pénétre la masse de pierre, la brise et la
rompt, il le fait en suivant comme les articulations naturelles du matériau. il en
résulte un jeu de formes modelées avec raffinement, sans que rien ne se perde de
la densité initiale.
lucien kayser, catalogue, exposition galerie kutter, 1981
? auf keinen anderen als j. p. georg lasst sich die formel “kunst ist mensch + natur”
besser anwenden. in seinen skulpturen wird die noch immer magische welt der tiere
beseelt. wenngleich kompakter, kraftvoller im aufbau, bleibt er einer der wenigen
originellen künstler, die luxemburg kennt. in seinen werken spürt man den
handwerker, das verlangen nach dem verständnis von sensationen und
handlungen.
|. levy, luxemburger wort, le 20 octobre 1981
> ses formes sont angulaires dans leur ensemble, trapues, ses sujets souvent
empruntés à l'histoire, car les traces de l'histoire sont inscrites dans la pierre, dans
le marbre, sont coulées dans le bronze, des idées-souvenirs reprises par
j.-p. georg, reprises et transcodées dans son langage bien à lui, clair et net, sans
fioritures. c'est du dialogue entre la matiére grise et la matiére "matérielle" que naítra
l'oeuvre d'art.
o. ferron, luxemburger wort, le 29 décembre 1988
pour savoir davantage
richard audry, tageblatt, le 24 mai 1984
daniéle wagener, nos cahiers n? 1/1984
jos., revue, le 26 avril 1984
daniéle wagener, luxembourg magazine n? 5/1985
livre
maggy stein, jean- pierre georg, sculptures, édition galerie de luxembourg, 1991
GEORGES Emile 1912 -1990
oeinture - né en 1912 - autodidacte, employé à l'arbed - peinture figurative, huile,
aquarelle, gouache - membre puis président de "art libre" d'esch/alzette
expositions collectives et plusieurs expositions personnelles à esch/alzette
"l'artiste expose des paysages, des fleurs, des natures mortes. doué d'un bon
sens d'observation, il ne s'écarte pas de la réalité. à l'exception de trois oeuvres,
'outes les autres sont du genre figuratif. elles sont d'un effet naturel et plein de vie.
a palette d'emile georges est riche. il sait vraiment composer des tons harmonieux
et agréables qui s'associent au choix toujours heureux du sujet et à sa volonté
d'expression”, p. bever, républicain lorrain, le 7 avril 1984 - mort en 1990
GERSON Roger 1913 - 1966
oeinture - né le 11 juin 1913 à diekirch - études à l'école des artisans de
'uxembourg, à l'école des arts décoratifs de strasbourg, à l'académie des beaux-
arts de vienne et à l'académie royale des beaux-arts de bruxelles - artiste-peintre
indépendant, son sujet favori est le paysage qu'il exécute de maniére
expressionniste et impressionniste - il a beaucoup exercé son talent pour l'art de
l'affiche - sa devise: "tous les artistes sont pauvres, sauf quelques-uns qui vivent
4 4
ı()