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! EFEVRE Julien, le port à katsand, huile (livre nina et julien lefévre, isp, 1978)
conseil auprès de l'autre. souvent il se sont installés au méme endroit pour peindre
une vue. les différences de style existent bien sûr. mais elles ne sont pas grandes.
es traits de julien sont peut-être un peu plus durs, un peu plus volontaires et
accentués. mais dans la partie essentielle, l'harmonie chromatique est sensiblement
la même.
planche weicherding-goergen, livre nina et julien lefèvre, éditions saint-paul, 1978
? depuis que julien lefévre a trouvé plaisir à capter dans la médaille les traits de
personnes qu’il estime, il est aussi connu comme l'un des meilleurs portraitistes
actifs dans l'aire belgo-luxembourgeoise.
raymond weiller, livre nina et julien lefèvre, éditions saint-paul, 1978
? en tant qu'homme julien lefévre était simple et intelligent, humble, discret, un vrai
gentleman. en tant qu'artiste il était toujours à la recherche d'un nouveau projet et
ne se donnait que rarement du répit. les dessins, julien lefévre avait l'art et la
sensibilité indispensables pour les traiter chacun différemment, toujours en rapport
avec le sujet choisi. “le boxeur” est un superbe fusain qui marie admirablement la
force physique du modéle (les deux "instruments" premiers du boxeur, les bras, se
trouvent au premier plan, bien en évidence), la force expressive du visage, mélange
3 de réflexion et de défi, et la force contondante (comme un coup de poing) du
C7 dessin: le trait énergique ne laisse pas de place au doute, au contraire il est sür et
e déterminé. la recherche des volumes est constamment mise en valeur par le jeu de
contraste ombre-lumière.
encarni schumann-vaquero, luxemburger wort, le 28 janvier 1984
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