l'art, c'était l'homme ajouté à la nature". Mais il faut reconnaître que dans les oeuvres modernes la part de la nature, du monde extérieur, est nettement moins grande que dans les oeuvres anviennes. Ce qui, au XXe siècle, l'emporte de manière catégorique, c'est la part de l'homme, celle de sa sensibilité et celle de son esprit inventif. Joseph-Emile Muller.