«D’aucuns, a-t-il écrit un jour, se placent sous l’égide de Pascal, de Bergson ou de Sartre. Ça fait sérieux. Pour ma part je suis plus à l’aise à l’ombre d’Edith Piaf». Entendons qu’il attache plus de prix à l’émouvante confidence qu’à la rhétorique ambitieuse. N’empêche qu’il peint non pour se livrer à des simples effusions, mais pour créer des oeuvres complexes, raffinées, riches en saveurs, rayonnantes de poésie. Joseph-Emile MULLER