No 4 Fusil Snider, version Remington à ressort revétu d'une douille (fabrication grecque). No 1 Les 3 baïonnettes à douille se montent sur les Nos 3, 5, 6. Empl. B (Panneau) Variantes des systemes Remington et Doersch L'invention Remington applique à la chambre un bloc obturateur, pivotant vers l'arriére. Le chien armé rend possible le maniement du bloc, qui dégage la chambre pour l'extraction et l'alimentation. La mécanique simple et solide, bien que d'origine américaine, connut une faveur européenne certaine. Les Volontaires Luxembourgeois furent équipés du Remington fabriqué sous licence par Nagant de Liége. Le méme mécanisme fut aussi appliqué à des pistolets. Les Doersch sont les inventeurs d'un fusil dit à «aiguille». Le principe de base est le méme que pour les 2 classiques dans ce genre: Dreyse et Chassepot. Le piston obturateur contient dans son âme un percuteur enroulé d'un ressort. Cette broche de percussion se termine en aiguille, destinée à percer le culot de la cartouche en papier, pour faire exploser l'amorce localisée au milieu de la charge propulsive. La culasse Doersch se distingue de ses cousins par le procédé d'armement et de verrouillage. Le petit levier dégage le percuteur ce qui permet le déverrouillage (par le grand levier) du piston et son rappel en arriére pour dégager la chambre. La culasse Doersch se préta facilement à l'adaptation sur des armes se chargeant par la bouche (percussion et silex). Nos 7 et 8 Remington-Nagant Le No 7, une carabine de cavalerie ou de maréchaussée. Le No 8, l’arme équipant les Volontaires Luxembourgeois, est destinée à recevoir une baïonnette-sabre du type français, dit Yatagan ou Chassepot. No 9 Remington original de fabrication américaine. Nos 10 et 11 Doersch originaux Le No 11, modele en usage auprés de la société des Arquebusiers Luxembourgeois. No 12 Carabine Hollandaise (Mod. 1874) adaptée au mécanisme Doersch. Operation du «Remington» 26