Prov. peut-être Dippach, (trouvé «sous l’autel de l'église, 
reconstruite en 1845»). 
Musée (18462). N° d’inv. 29. 
sf. PsH 3, 1847, p. 22 (rc). - Engling, Der Heidenaltar 
zu Dippach (rs 10, 1855, p. 71). 
Réf. 
400 Fragment (d'une pierre à quatre divinités?). 
Le relief montre les plis incurvés dessinés dans la partie in- 
férieure du manteau porté probablement par une déesse 
(Junon ou Cérès). 
Sur le rebord plat de l’encadrement de la pierre on distingue 
l’extrémité inférieure du sceptre (ou serpent) que la déesse 
tient de la main gauche. (De l’autre main elle aurait tenu une 
torche penchée au-dessus du sceptre.) 
H. 37,5 Larg. 48,5 Ep. 34,5 cm. 
Prov. incertaine (cf. Lorentzweiler, piette acquise vers 1680 et 
transportée à Luxembourg sur ordre de Christophe 
Binsfeld, «dont la demeure est devenue plus tard 
propriété de la famille Custine de Wiltz, rue du St- 
Esprit. — P. Medinger, psu 67, 1938 p. 621».) 
Musée, date inconnue. N? d'inv. 439. 
Au sujet de Lotentzweiler cf, Wiltheim, Lux. Rom. 11, 
129 Delin. fol. 124 fig 352 & fol. 127 fig. 362-364 
(= édit. Neyen, p. 301 pl. 88 fig. 399-402; Ternes, RAL 
fig. 327-334). - (Waltzing, Orolaunum p. 120 note 3.) — 
Espérandieu n° 4202. — Heiderscheid, Lorentzweiler 
im Laufe der Jahrhunderte p. 8-9 fig. p. 10 & 72. 
401 Fragment qui porte en relief le bras droit levé, coude replié, 
d'un homme dont l'épaule est à découvert. Les plis d'un 
vétement sont visibles à cóté de l'aisselle. Le bras se détache 
d’une paroi neutre à encadrement plat. 
H. 55,5 Larg. 57 Prof. 48 cm. — Grès. 
Prov. inconnue. 
Musée, date inconnue. N? d'inv. 438. 
Il s'agit peut-étre de la figure latérale d'une pierre à 
laquelle J. Engling fait allusion en parlant des pierres 
redécouvertes à Luxembourg en 1866: adolescent 
portant un enfant nu (psa 22, 1867). Cf. aussi le 
Jupiter de la pierre E 4247 qui fit partie des collections 
des Pères Jésuites à Luxembourg! 
T) 
402 Fragment inférieur d'un relief à encadrement plat. 
Il montre deux pieds chaussés, écattés, sous les plis «canne- 
lés» de la tunique portée par une femme sans doute assise 
dans une fausse niche. 
H. 36,5 Larg. 63 Ep. 22,5 cm. 
Prov. inconnue, 
Musée, date inconnue. N° d’inv. 526. 
Réf. Espérandieu n? 4274. 
403 Fragment dit du dieu «Sucellus» (ou «Silvanus»?). L'homme 
qui se présente de face, porte un manteau retenu par une fibule 
à l'épaule droite, cachant le bras gauche, mais qui laisse la 
poitrine à découvert. Un pan du vétement est ramené et 
attaché sur le devant à hauteur de la taille. Le cou de l'homme 
est paré d'un collier (torque). Son bras droit était levé (et 
tenait un maillet?), le bras gauche est baissé. La tête, le bras 
droit et la main gauche, ainsi que les membres inférieurs 
manquent. 
Le dessus du bloc et la face postérieure offrent des moulures 
qui ornaient le pilastre, auquel la pierre sculptée, avait par- 
tiellement servi de socle, lors de son remploi. p.118 
H. 65,5 Larg. 55,5 Ep. 33,5 cm. — Bas-relief. 
Prov. Lorenizweiler, fondations de l’église paroissiale con- 
struite en 1791 et démolie en 1937. 
Musée 1937. N? d'inv. 576. 
psH 67, 1938 p. 619 (nc) fig. 9 (p. 622). — Heiderscheid, 
Lorentzweiler im Laufe der Jahrhunderte, 1954, p. 9 
(non reproduite). 
404 Bloc avec le relief (mutile) du buste d’un personnage (femme?) 
vétu d'une robe à encolure ronde. La téte manque. 
H. 49,5 Larg. 35 Prof. 38 cm. 
Prov. Mamer, lieu-dit «Woosen», thermes, pierre de remploi 
dans un mur datant du 1v° siècle. Fouilles du Musée, 
1974. 
Musée 1974. N? d'inv. 3413. 
405 Bloc presque cubique dont l’unique face sculptée présente 
en bas-relief une téte de trois quarts à droite. Le visage, en- 
dommagé, est encadré des boucles d'une opulente chevelure ; 
la musculature vigoureuse du cou, la pomme d’Adam sail- 
lante suggèrent la représentation d'une téte d'homme (Apol- 
lon?) plutót que celle de Méduse. 
H.44 Larg. 41 Prof. env. 37 cm. 
Prov. Luxembourg ?). La pierre était encastrée dans la fa- 
cade(?) de PHótel de la Direction des Postes et Télé- 
graphes, ancienne Direction du Génie (actuell. Ave- 
nue Monterey), démoli en 1910. 
(A rapprocher du croquis de la pierre exposée jadis 
dans les jardins de l’ancien palais du gouverneur 
Mansfeld à Luxembourg-Clausen et intercalé dans le 
texte du Luxemburgum Romanum d’Alex. Wiltheim.) 
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