La déesse est vétue d'une tunique longue à manches trés larges. Son visage est rond, ses cheveux sont dénoués et coupés en frange sur le front. Les jambes du cheval se dé- tachent de l'atriére-plan. La téte est endommagée au chan- frein. H. 39,5 Larg. 27 Ep. 11,5 cm. - Ronde-bosse. Prov. inconnue. Musée, date inconnue. N? d'inv. 432. Un relief provenant d’Altrier et représentant dans une niche cintrée, une femme assise de face sur une jument à droite, un chien (et un corbeau?) sur son giron, est conservé au Musée de Bonn. — Le bras et la jambe droite, dégagés des plis du vêtement, agrafé à l’épaule gauche, et les traces d’une restauration peut-être maladroite de la pierre, permettent de douter qu’il s’agisse de la déesse Epona. Cf. psu 8, 1853 pl. x1, 1 (Engling, Altrier, p. 114). — Espérandieu n9 4219. — Lehner, Die antiken Stein- denkmäler des Provinzialmuseums in Bonn, p. 120 n? 250. — Welter, Róm. Luxbg p. 16. — Epona provenant du Titelberg voir le n° 352. 323 Fragment de déesse-mére ou d'Epona. 322 A travers une ouverture semi-circulaire pratiquee du cöte pignon d'un édicule de plan carré et à toit en bâtière, on aperçoit sculptée en méplat sur la paroi postérieure, la déesse Epona montée à califourchon sur une jument marchant à droite. Le bras raidi et tendu en avant, elle tient les rênes de la main droite. Il ne restait que la moitié droite du petit édifice avec, gravées sur le pignon, les lettres finales d’une inscription N À (= EPONA). La pierre a été restaurée en 1969 et l'inscription complétée. H.69 Larg.61 Prof. 62 cm. — Gtés. Prov. inconnue (Dalheim?). Musée, date inconnue. N° d’inv. 261. lap. 51. Réf. Welter, Rom. Luxbg n° 9 pl. 11. — Finke, Neue In- schriften p. 28 (Deutsch. Archäol. Institut, rôm.-germ. Kommiss. 17. Bericht 1927). — Krüger, Vom rom, Luxbg p. 66-67 fig. 3 & 4 (Annuaire des Amis des Musées 1931 = Trierer Ztschr. 1930 H. 1). — Oelmann, Zur Aedicula von Mainz-Kastell p. 188 fig. 2 (Festschr. A. Oxé 1938). — Hatt, p. 223-224. - Magnen et Théve- not, Epona n° 232. — Ternes, 1aL n° 147 fig. 129. - Benoît, Epona funéraire p. 336 pl. 104 fig. 4 (Ogam t. xVII fasc. 3-6). — Wiegels, Ein róm. Inschriftenhäus- chen aus dem Kleinkastell Honehaus (Odenwald), p. 549. notes 25 & 29 (Germania 51,1973, 29 fasc.). Rappelons que Dalheim a fourni une statuette d’Epona en bronze (n° d’inv. 1969-3 & 1971-85). Cf. Thill Une Epona en bronze de Dalheim (Hémecht 1969,1) & Cheval en bronze de l’Epona trouvée fin 1968 (Hémecht 1971,3). — Bronzes figurés au Musée, catal. n? 16. Le fragment d'une statuette de la déesse Epona, assise dans un fauteuil à dossier élevé, flanquée de chevaux, a été dé- couvert en 1884 à Da/beim. — Au Musée de Trèves. Cf. Hettner, Die rôm. Steindenkmäler des Provinzial- museums zu Trier, 1893, p. 63, n° 107. — Westd. Ztschr. tv. p. 217. — Welter, Róm. Luxbg p. 17. La femme, drapée, retient de ses mains aux doigts longs des fruits amoncelés dans son giron. Le buste et la partie inférieure de la femme manquent. H.13 Larg. 12,5 Ep. 10 cm. Prov. inconnue. Musée, date inconnue. N° d’inv. 458. P 324 Fragment d'une représentation de la déesse Epona ou de déesse-mére. La femme retient de la main droite des fruits disposés dans les plis incurvés de sa robe. La brisure de la pierre a enlevé la moitié (gauche) d'un oiseau posé sur les fruits. Le buste, la moitié gauche du corps et les jambes de la déesse manquent. H. 36 Larg.13 Ep. 20 cm. Prov. inconnue. Musée, date inconnue. N? d'inv. 264. Réf. Welter, Rom. Luxbg n° 12 pl. 111. 325 Fragment de déesse-mére assise sur une large banquette à dossier plat. Sur ses genoux est déposée une grande corbeille de fruits sur lesquels elle a posé sa main droite. Le buste de la femme manque. La moitié inférieure de la pierre est trés mutilée. H.19,4 Larg.20,8 Ep. 13,6 cm. Prov. inconnue. Musée, date inconnue N? d'inv. 265. Réf. Espérandieu n9 4266. — Welter, Rom. Luxbg n° 13 pl. xr. 326 Assise sur un trône à sommet triangulaire, parée des plis lourds et symétriques de son manteau, la déesse-mère tient des deux mains, tel un éventaire, une coupe remplie de fruits en abondance posée sur ses genoux, p. 113 a1