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GA LLI AE VAR IC I LL O 
CONIV GI M SECV NDI V S 
S E C V N D I NV S-ET 
S I B I V I V O S 
FE C 
Aux Dieux Mânes. À Gallia Varicillus, son épouse et pour 
lui-même, Marcus Secundius Secundinus a fait ériger ce 
monument de son vivant. 
Ire moitié du III? siécle. 
H.59 Larg. 177,5 Prof. 59 cm. 
H. des lettres: 1re à 3? lignes: 5,5 cm, 4e à 6€ lignes: 6 cm. 
Prov. «Hoszer?, non loin du presbytére, lors du tracé d’un 
fossé en direction du château d’eau, en décembre 1919». 
Voir aussi le n° 28 (chapiteau). 
Musée (1919?). N? d'inv. 545. lap. 62. 
psu 60, 1923 p. 366-368 (rc) fig. p. 367. — Finke, Neue 
Inschriften p. 24 n? 70 (Deutsch. archáol. Inst., Róm.- 
germ. Kommission 17. Ber. 1927). — Theisen, Schüt- 
tringen und die Geschichte des oberen Syrtals. p. 35. — 
Ternes, IAL n° 81 fig. 67. — cf. aussi «Das Lux. Land», 
1883 p. 278. — Engling, Andethanna, vormals und 
nachmals (psu 6, 1851). 
289 Bloc provenant d'un monument funéraire dont deux faces 
à sommet cintré portent des traces de sculpture: Leurs mains 
se joignant, Cletusstus et Eburia, son épouse, sont représentés 
en pied, dans un léger enfoncement, flanqués des lettres D et 
M (cette derniére lettre a disparu par suite de la cassure de la 
pierre). En dessous d’eux se trouve, encadrée par une moulure 
concave, la suite de l'inscription 
CLETV S S TO- VER 
NC TO ET EB VRIA 
NI V GI- V I V A . V 
Sur la face laterale gauche figurent des artisans au travail, 
probablement des tonneliers; leurs outils, dont une ascia, 
sont suspendus à un ratelier mural. Deux des personnages 
sont vétus d'un mantelet à capuchon. p. 135 
H. 72-78  Larg. 83 Prof. 90 cm. 
H. de la lettre D: 19 cm, des autres lettres: 6,5 cm. — Grès, 
Prov. Berbourg, église démolie, 1901. 
Musée aprés 1901. No d'inv. 246. lap. 39. 
Réf Knepper, Rómische u. mittelalterliche Funde bei Ber- 
burg (Hémecht 1901 p. 209-210). — cir. xir, n° 4103. — 
Riese, 3664. — Espérandieu n? 4221. — Ternes, IAL n° 
17 fig. 18. — Thill, Guide p. 10 n9 37. 
290 Fragment d’un monument funeraire, 
p. 134 
L'homme est vêtu d’une pénule. Il tient une bourse de la 
main gauche. La femme a posé la main droite, parée de bagues, 
sur sa poitrine et de l’autre main elle tient un flacon. Son vête- 
ment est bordé de franges. 
La face latérale du bloc porte en haut, à droite, une ascia 
gravée; la face opposée est occupée par un grand cadran 
solaire avec chiffres arabes. 
Sur le dessus de la pierre est un léger enfoncement rectan- 
gulaire. 
H. 84,5 Larg. 71,5 Prof. 48,5 cm. 
Prov. Collection des Pères Jésuites à Luxembourg. 
Musée, date inconnue. N° d’inv. 524. 
Réf. Wiltheim, Lux. Rom. 1,312 (?), Delin. fol. 43 fig. 114 
(=Neyen p. 180 pl. 36 fig. 138; Ternes, RAL fig. 259). — 
Espérandieu n° 4178. 
291 Moitié supérieure de l’édicule d’un monument funéraire. 
L'homme dont la main droite est ramenée sur la poitrine et 
qui tient de l'autre main une boutse, est légérement tourné 
vers la femme à sa droite. Elle tient un flacon. 
Les faces latérales présentent l'une, une danseuse nue, les 
bras levés et jouant des crotales, l'autre une danseuse égale- 
ment nue, le bras gauche levé, la paume de la main ouverte, 
celui de droite baissé. (D'aprés le dessin du manuscrit Wilt- 
heim, un serpent entourait la cheville gauche de cette der- 
nière femme.) 
H. 73,5 Larg. 77 Prof. 56,5 cm. —- Grès. 
Prov. Mamer. Transférée à Clausen, dans les jardins du palais 
Mansfeld (A. Wiltheim). Ensuite Collection des Pères 
Jésuites à Luxembourg. 
Musée (18662). N° d’inv. 144. 
Wiltheim, Lux. Rom. 11,135 Delin. fol. 128 fig. 366, 
368,369 ( —Neyen, p. 305 pl. 90 fig. 414-416; Ternes, 
RAL fig. 279-284). (cf. Engling, wiedergef. Bildst. 
p. 107: mais d'aprés les descriptions données par Eng- 
ling, ce fragment ne fait pas partie des pierres retrou- 
vées en 1866.) — Espérandieu n9? 4194. 
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Les environs immédiats de Mamer, situé à proximité de la 
voie romaine d’Arlon à Trèves, témoignent de la présence 
des Romains et plus particulièrement les lieux-dits « Tossen- 
berg», par un lot important de poteries provenant de tombes 
à incinération, le flanc NE de la hauteur «Bierg», par les 
fondations d'un vicus constatées au cours des fouilles de 
«sauvetage» en 1971, mais détruites par des travaux de terras- 
sement, enfin «WVoosen» en 1973, par le dégagement de thermes 
(travaux en couts). 
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