1967: galerie interart, luxembourg (p) 1967: possenhaus, bech-kleimacher (p' 1968: maison du benelux, la haye (p) 1969: galerie reflets, bruxelles (p) 1970: biennale internationale, menton 1971: galerie bradtké, luxembourg (p) 1972: galerie bradtké, luxembourg (p) 1972: galerie armorial, bruxelles (p) 1972: nouveau théâtre, luxembourg (p) 1973: thomas-mann-bibliothek, luxembourg (p) 1974: huidevettershuis, bruges (p) 1976: théátre municipal, esch/alzette (p) 1976: maison de l'art, talinn, urs s (p) 1980: possenhaus, bech-kleinmacher (p) 1981: meridian house, washington (p) 1984: bibliothéque royale, bruxelles 1985: maison du spectacle, bruxelles (p) 1985: galerie suzel berna, antibes (p) 1988: galerie liehrmann, liege 1990: galerie clairefontaine, luxembourg (p) 1991: katholische akademie, treves (p) 1991: aalerie clairefontaine, luxembourg (p) appréciations ? germaine maas schaut die welt mit frischen, schwármerischen augen an, sie hat lust am erzáhlen, und sie versteht, etwas von ihren farbenfreudigen erlebnissen im bilde festzuhalten. am liebsten ist mir ihr fröhliches spritziges "venedig'. joseph-emile müller, tageblatt, le premier octobre 1953 ^ ger maas présente un ensemble de peintures exhalant un trés subtil goüt de poésie. c'est la révélation d'un tempérament doué d'une exceptionnelle sensibilité doublée d'un sens instinctif de l'élégance. d'où cet équiliore enchanté entre l'intuition et le rêve. alfio coccia, l'italia, le 16 novembre 1967 ? elle aime la vie, mais ne vit que pour son art. si certains dessins décèlent une S grande délicatesse et une áme féminine, l'expression est virile, la technique solide (> et fougueuse. elle n'invente ni ses thèmes, ni ses modèles. avant de projeter ceux-ci sur la toile ou le papier, ger maas les a recréés au plus profond d'elle-même, jusqu'à l'abstraction des formes et l'oubli des couleurs réelles. celles-ci, formes et couleurs, répondront consciemment à son impression personnelle. sans doute est- ce là la vrai leçon de kokoschka. dr. a. janssens de bisthoven, catalogue exposition à bruges, 1974 ? ger maas a développé au cours des années un style vaporeux, léger, un peu enjoué, qui s adapte parfaitement à l'illustration. on sent à travers ses oeuvres réalisées son immense joie de lire, d'approfondir les textes, de les étudier jusque dans les derniers détails. c'est là son mérite. c'est là la clé de sa réussite. elle est restée au cours de sa carriere fidéle à la voie qu'elle s'était tracée. tout en jouant avec les formes, elle demeure sincèrement figurative et je crois pouvoir dire que de nos femmes peintres, elle est une des figures de proue. blanche weicherding-goergen, luxemburger wort, le 13 novembre 1975 ? ger c'est aussi un certain sourire un peu timide et parfois hésitant. celui d'une femme comblée certes, mais qui sait ce qu'il en coûte de renoncement, de discipline et de travail pour suivre une voie droite en accord avec les exigences de sa conscience et de sa nature de femme et de créatrice. isabelle gérard, létzebuerger journal, le 3 janvier 1978 ? ilis composent aujourd'hui cette exposition "virtuose". tel est bien le maitre mot du travail de ger maas, une virtuosité qui rejoint celle du danseur, du musicien ou du chef, celle-là qui rend éblouissante... et en apparence "facile" la composition, celle- là dont il est question dans l'histoire de l'oiseau de picasso. une aisance aui s'appuie, on l'aura compris, sur un prodigieux travail françoise pirovalli, républicain lorrain, le 11 juin 1991 pour savoir davantage m. frieden, létzebuerger journal, le 23 mars 1965