appreciations ? emile kirscht est une des richesses du salon. je "marche" surtout pour la "femme aux fleurs" qui est une petite composition complexe trés réussie, et pour les deux gouaches qui prouvent que l'auteur sait capter une atmosphére et la rendre richement, sans aucune sécheresse ni sujétion inutile au sujet. une toute petite pochade, hors catalogue, révèle les mêmes qualités de coloriste. on peut attendre beaucoup de kirscht. léon loschetter, luxemburger wort, le 14 octobre 1949 ? der maler kirscht befindet sich, abgesehen von etlichen perioden des suchens, seit jahren in ansteigender entwicklung. im jetzigen salon zeigt er kunst, die vóllig abstrakt ist, neben solcher, bei der es schon angedeutete wirklichkeit gibt. diese bringt hier die farbentonreihen. wie sie kirscht überall meisterhaff spielt. in stárkeres schwingen. jos funck, tageblatt, le 10 octobre 1964 ? une pléiade de nuances à partir du brun, de l'ocre, du vert (difficile et merveilleux vert), de l'orangé parfois, teintes de base, sourdes, chargées de mystère et d'un profond lyrisme, exaltant de formes, qui, pour être abstraites n'en sont pas moins signes et résonances du monde “visible”. c'est la maison, c'est le chemin, l'amitié, une main tendue. et le trait, singulier cordon ombilical, unit des formes oblongues, larges et épaisses qui prennent vie dans la composition, s'attirant ici, se repoussant là, disparaissant pour ressurgir enfin en formes totémiaues. représentations- symboles du continent sud-américain. françoise pirovalli, républicain lorrain, le 8 octobre 1980 ? mit acrylfarben, vereinzelt auch mit gouache bringt emile kirscht seine ideen zu papier. vielfáltig seine stilelemente, zahlreich seine spielarten: objektgruppen gleich, dann wieder wie stumme beobachter stehen seine formen in der bildlandschaft. irgendwie drängt sich immer wieder eine perspektive auf, eine bildtiefe, als müssten die bildelemente im vordergrund unweigerlich schatten werfen, als schiene die sonne auf sie. einige werke tendieren so zum surrealismus, andere unterliegen strengeren kompositionskriterien, alle laden sie zur deutung, zum phantasieren ein. «laus detzel, luxemburger wort, le 13 février 1984 ? l'oeuvre d'emile kirscht s'est enrichie de ce sens aigu de la perception simultanée de plusieurs univers: subtilité de la "gradation" dun monde à l'autre. on entre, on péneétre, on glisse le long des murs, univers lisse ou baroque: l'oiseau devient soleil la boule magique s'inscrit dans la haute sensibilité de l'artiste... dans l'enchancrure du quotidien ou du rêve, l'oeuvre s'inscrit dans la haute sensibilité d'un artiste... inclassable. joseph paul schneider, luxemburger wort, le 3 mars 1990 pour savoir davantage wr, tageblatt, le 22 septembre 1973 richard audry, tageblatt, le 27 décembre 1978 lucien kayser, letzeburger land, le 17 octobre 1980 charles |. krier, tageblatt, le 16 février 1982 jim, revue, le 8 décembre 1983 c. malans, luxemburger wort, le 31 octobre 1987 h. ketter, revue, le 8 juin 1988 françois besch, tageblatt, le 8 juin 1988 joseph paul schneider, luxemburger wort, le 17 et 22 juin 1988 p. kremer, luxemburger wort, le 5 juillet 1989 bernadette lorang, télécran n? 30/1989 livre monographie emile kirscht par guy wagner, éditpress, 1987 KLASEN - ZWEBER Josette 1935 peinture - née le 17 juillet 1935 à luxembourg - autodidacte - peinture figurative classique, à l'acryl et sur soie - expose à surré, luxembourg, mertzig, finsterthal, differdange, pétange - "sa peinture figurative tend quelque peu vers le naturalisme. étant donné que les toiles représentent des fleurs, la nature et les animaux, sans oublier le côté pittoresque du grand-duché”. républicain lorrain, le 25 octobre 1990 - vit à heisdorf Q2