1982: galerie louvigny, luxembourg (p) |984: galerie sünnen, bech-kleinmacher (p) 1985: cháteau wirtgen, diekirch (p) 1986: galerie bradtké, luxembourg (p) 1986: cháteau, bourscheid (p) 1987: galerie bradtké, luxembourg (p) D. 1987: maison communale, st - vith Au 1988: galerie maartkraiz, heiderscheid (p) B 1988: château, clervaux (p) f 1989: galerie bradtké, luxembourg (p) ' 1989: galerie du musée, ettelbruck (p) [990: galerie bradtké, luxembourg (p) (991: galerie bradtké. luxembourg (p) . appréciations » ° commençons par ceux dans lesquels l'artiste reste volontairement tributaire de l'art de la fresque préhistorique: “altamira, jagdszene”, retracent avec amour et fidélité es contours monumentaux, presqu'expressionnistes d'un bison se détachant sur un fond rocheux. notons d'autre part que l'élément visionnaire occupe une part prépondérante dans quelques-unes des oeuvres de joseph grosbusch. :0S walentiny, luxemburger wort, le 11 avril 1969 ? grosbuschs bilder sind überlegt und durchgearbeitet. sie spiegeln die welt eines erwachsenen mit seinen erfahrungen. sie sind vielschichtig und hintergründig. mehrere bildebenen sind voreinandergesetzt wie szenenbilder im theater. die farben überlagern sich, die unteren schichten dringen durch die lócher und risse der oberfláche. piré, letzeburger land, le 17 septembre 1971 ^ ? quant à sa thématique, elle savére comme chez beaucoup de tenants 2. i = représentatifs de l'art fantastique, des plus riche. comme par ailleurs l'esprit du Ko 7 oeintre me semble plus narratif que descriptif, plus humoristique qu'idéologique . olerre roller, luxemburger wort, le 21 juin 1975 ; ° l'art de joseph grosbusch est un art a part qui emprunte au surréalisme la \ROSBUSCH Joseph. hi composition insolite et à l'hyperréalisme la précision de la technique. pour le reste, il se place dans un réalisme symbolique qui va plus loin que la simple imagerie. ici, le moindre indice a sa signification, que la couleur, le plus souvent froide, accepte d'accentuer ou de compléter selon les cas. richard audry, tageblatt, le 13 décembre 1978 ses oeuvres (huile et craie à l'huile) lui permettent de critiquer maints aspects de la société et du monde environnant et l'incitent móme à une certaine autocritique. à l'aide d'une philosophie de l'absurde et par le biais d'allégories, mélangées souvent de beaucoup de verve et d'humour noir, il met en relief l'insuffisance ainsi que les petits et grands défauts de l'humanité et de la nature. cependant il n'a ni le désir d'offrir une solution brevetée, ni la prétention d'en savoir touiours tout et de le faire mieux. catalogue de l'exposition au cháteau de bourscheid, 1986 pour savoir davantage romi roth, marc bruck, revue, le 26 mars 1977 revue, le 10 novembre 1983 ios walentiny, luxemburger wort, le 9 mai 1984 livre, catalogue das bild im bild, édtions pol tousch, 1978 ioseph grosbusch, cháteau de bourscheid, 1986 GROSBUSCH Martine, épouse Ahlborn 1958 peinture - née le 10 avril 1958 à luxembourg, fille du peintre joseph grosbusch - études d'arts plastiques à l'université de strasbourg - expositions à diekirch et esch/alzette - "certains de ses tableaux sont des "essais", mais des essais positifs, des esquisses qui laissent percer le talent de la jeune artiste, quant a I'harmonie des couleurs - le brun, le bleu, l'ocre surtout - la composition mouvante, les lignes dynamiques: rien de rigide, d'artificiel, beaucoup de spontanéité, de naturel, de X!