1988, grand prix à la biennale internationale du portrait à tuzla en 1990, premier prix a la triennale internationale à sopot - oeuvres au musée d'histoire et d'art à \uxembourg, aux bibliothèques nationales de luxembourg et de paris, aux musées de menton. fredrikstad, bruxelles et lodz - vit à sandweiler expositions collectives et personnelles (sélection) 1980: cercle municipal, luxembourg 1981: biennale des jeunes, esch/alzette 1983: festival de la gravure, castillon-du-gard 1984. biennale de la gravure, fredrikstad 1984: biennale de la gravure, cracovie [985: triennale du mezzotinto, sopot 1985: galerie la cité, luxembourg 1985: triennale internationale, grenchen 1986: triennale de la gravure, frechen 1987: premio internat. biella, biella 1987: festival de la peinture, cagnes-sur-mer 1987: galerie municipale, esch/alzette (p) 1987: druckgraphik, stuttgart 1987: biennale de la gravure, ljubljana 1988: biennale de la gravure, heidelberg 1988: galerie de luxembourg, luxembourg (p) 1989: palais carnoles, menton (p) 1989: victorian, düsseldorf 1990: biennale du portrait, tuzla 1990: maison des artistes, MOSCOU 1991: galerie le carre des arts, stavelot (p) appreciations ? dans ses gravures à l'eau forte, à la maniére noire, à la pointe sèche, on sait que le monde, tel que marc frising le saisit, est un univers méticuleusement délabré. à la première vue, tout y est déchiqueté, morcelé, soigneusement découpé en cassures... mais, parce que vivant, tout est également griffé, profondément entamé oar des plaies réelles, dévisagé puis altéré, mutilé avec vigueur. l'objet, si aprés tout il subsiste, a valeur de corps. insolite, il semble reposer avec la pesanteur qui respire. agité parfois... quelques convulsions errantes, furtives... l'obiet parait souffrir strangement d'être animé de sa propre débâcle. rené gonner, estuaires, n° 3/1987 > de manière ingénieuse, marc frising sait tirer parti de l'ordonnance, créer une dynamique. et dans ces gravures, il règne une atmosphere, elles la répandent, que ie qualifierais volontiers de symboliste. c'est dire que la poésie fait bon ménage avec tant de maitrise. ucien kayser, échanges, n? 2/1988 > il est heureux pour marc frising qu'il ait conquis assez rapidement dans le domaine de la gravure l'indispensable notoriété qui lui permet de nous donner aujourd'hui un ensemble relativement complet, et trés intéressant, d'une démarche qui frappe, d'une part, par son originalité formelle et sa rigueur esthétique (à une époque oü tout le monde croit devoir s'engouffrer dans l'abstraction et l'expressionnisme!) et, d'autre part, par ses “valeurs techniques”. chez marc frising, la science des images est à la nNauteur des correspondances sensibles: "je ne suis certes pas d'avant - garde. je me contente - en attendant - des mille richesses de l'univers qui sont sous mes yeux. au fil des années, et croyez-moi, j'ai encore beaucoup à apprendre, j'ai enfin acquis ce niveau technique minimum (à mon avis) pour appréhender et traduire mon monde." ioseph paul schneider, le 18 novembre 1988 > die grafischen blätter sind nach bestimmten regeln aufgebaut; linien, die sich an einem punkt treffen, perspektivische aspekte und tiefenwirkungen sind bewusst mit einbezogen. die thematik ist am anfang stets vorhanden, weicht dann aber der form und der bewegung und bleibt nur in der symbolik weiter bestehen. dinge verändern sich und sind noch teile der komposition. elisabeth vermast, létzebuerger journal, le 26 novembre 1988 ? marc frising se place au premier rang des jeunes graveurs de notre pays. l'art graphique du jeune artiste rayonne d'un esprit sérieux et d'une sensibilité fraiche 06