appreciations ? charlotte engels führt sich in der muttergottesstatue als eine tüchtige, vielversprechende künstlerin ein: gefühl für plastische form und ausgewogene disponierung sind ihr im hohen grade eigen. éo lommel, luxemburger wort, le 29 janvier 1949 ? à cóté de la gravure en médaille, c'est sans doute la sculpture qui occupe une toute premiére place dans l'oeuvre artistique de charlotte engels, tandis que la peinture, à laquelle l'artiste est arrivée plus tard, en est encore aux premiers temps d'une évolution qui s'annonce particulierement prometteuse. des tableaux au jeu combien subtil et attrayant des couleurs et de la lumiére sont là pour confirmer cette oremière impression. mais les derniers tableaux de charlotte engels s'orientent à eur tour vers un plus grand dynamisme et sans doute faut-il voir dans bon nombre de toiles traduisant l'affrontement de forces dans un univers centré l'influence indéniable de la cosmogonie teilhardienne. avant tout cependant il convient de souligner la parenté étroite entre les rythmes de la peinture et de la sculpture. ucien kayser, luxemburger wort, le 6 juillet 1967 ? les recherches de charlotte engels en sculpture, ces derniers temps, ont porté sur des constructions spatiales au rythme dynamique conçues pour l'architecture moderne. cette dynamique contenue dans le mouvement, prête à prendre son envol, à se libérer dans un mouvement éclaté. nous la trouvons déjà dans certaines de ses médailles. pierre scheifer, luxemburger wort, le 24 avril 1979 ? artiste consacrée, madame charlotte engels manie avec une aisance égale des formes d'expression fort différentes. par leur mouvement ascensionnel, leur narmonie, leur “convergence”. ses sculptures traduisent comme un détachement de la matière. j.-p. kraemer, luxemburger wort, le 10 mai 1985 ? les sculptures présentées par l'artiste se distinguent par l'harmonie de leurs formes, leur dynamisme, leur message de gaîté, de joie de vivre. c'est avant tout la gráce du corps humain dans la danse qui retient l'attention de l'artiste. les corps sveltes de ces sculptures se trouvent complétées par des formes abstraites soulignant l'élan, la beauté, la vitalité du corps humain. Colette mart, républicain lorrain, le 21 juin 1986 ? quand j'ai recours au terme de "forme", ce sont précisément les principes ‘ondamentaux de l'évolution que je revois surgir et se développer sur le tableau, schémas concrets et symboliques à la fois, qui servent d'ossature d''échelle", à l'ascension du monde et de l'homme. nous sommes en présence d'une nterprétation, d'une formulation plastique, picturale, puissante des fondements de ‘a vie et de l'esprit. les couleurs, avec force, dans le "gros plan" et la nuance expriment conjointement la méme réalité, la méme vérité. “osemarie kieffer, tageblatt, le 12 juin 1990 pour savoir davantage t., luxemburger wort, le 18 octobre 1949 carmen ennesch, tageblatt, le 30 juin 1953 avy friedrich, revue, le 14 avril 1973 oierre scheifer, luxemburger wort, les 20 et 24 avril 1979 roger spautz, lëtzebuerger journal, le 20 février 1981 oierre scheifer, luxemburger wort, le 10 décembre 1982 éon blasen, télécran, le 21 juin 1985 ioseph paul schneider, nos cahiers, n? 3/1988 rosemarie kieffer, galerie n? 3/1990 ENGELS Michel 1851-1901 dessin, peinture - né le 8 juillet 1851 à luxembourg - études artistiques à l'académie royale des beaux-arts à munich - professeur de dessin - a peint surtout des sujets historiques et religieux - cotondateur du c al, dont il devient le premier président (1899-1901) - "observateur minutieux, engels excellait dans les dessins au crayon ou à la plume, en partie colorés. ses albums intitulés "bilder aus der ehemaligen oundesfestung”, “le luxembourg pittoresque”, “stadt und festung luxemburg ehemals und heute” et le recueil de 31 planches sur la procession de clôture de ‘octave édité en 1893 étaient très appréciés. avec des traits fins et un sens aigu du 30)