ponnevoie - expose à luxembourg et à l'étranger - prix de raville en 1991 - oeuvres 
au musée d'histoire et d'art à luxembourg, ville d'esch/alzette, bibliothèque nationale 
à luxembourg, république de chine et au ministère des affaires culturelles à 
luxemboura - vit a esch/alzette 
e expositions collectives et personnelles (sélection) 
— 1968: salon de la jeune sculpture, paris 
ce 1970: galerie horn, luxembourg (p) 
1971: galerie 66, hofheim/taunus 
1972: galerie d'art municipale, esch/alzette 
1977: galerie paul brück, luxembourg 
1977: galerie la cité, luxembourg 
1979: galerie im zwinger, st. wendel 
1979: galerie la cité, luxembourg (p) 
1980: salon d'art contemporain, brest 
1982: galerie numaga, auvernier 
1982: galerie de la cité, luxembourg (p) 
1982: galerie n.r.a., paris 
1983: Maison de la culture, namur 
1984: villa vauban, luxembourg 
1986: hôpital des innocents, florence 
1986: del bella gallery, toronto 
1987: galerie arcadia, paris 
1987: galerie de la cité, luxembourg (p) 
1988: objekte 71, hórn/grenzhaus 
1988: hôtel de ville, cologne 
1989: galerie la cité, luxembourg (p) 
1990: tutesall, luxembourg 
1991: galerie d'art municipale. esch/alzette 
appréciations 
A ? beaucoup de sculptures ressemblent au physique de l'artiste: puissantes, 
XN massives, d'une rudesse sympathique. on dénote également beaucoup de 
€ franchise dans le geste: rien ne semble tarabiscoté ou chipoté. rien ne prouve une 
recherche pénible. 
pierre roller, letzeburger land, le 24 avril 1970 
- ? linien und formen der skulpturen sind einfach und klar, ihr wechselwirken wird zur 
NE erfüllung des raumes. das betrachten dieser werke ist immer wieder aufs neue 
- ‘aszinierend und anregend. die beobachtung einer plastik wird zu einer 
27] entdeckungsreise, weil das werk von allen seiten her, in all seinen strukturen 
7 schlüssig, ausgewogen ist. jeannot bewings arbeiten zeugen von beherrschung der 
materie ebenso sehr wie vom experimentieren. 
wr., tageblatt, le 12 Janvier 1974 
? jeannot bewing est un lutteur qui travaille d'arrache-pied et qui a choisi les déchets 
de fer à cause des difficultés que ceux-ci présentent pour étre sculptés. passionné 
de formes, jeannot bewing n'a souvent pas la patience de les modeler lui-même et 
préfère utiliser celles déjà existantes et les assembler pour en créer de nouvelles 
plus complexes et plus élaborées. 
richard audry, tageblatt, le 5 juin 1979 
? eine wilde, eruptive sprache, die der natur entnommen ist, reflektiert sich in den 
skulpturen. werke und natur ergánzen sich, wir erleben eine befreite gegenwart. die 
fragen, die uns die metallskulpturen zu stellen scheinen, werden von der natur als 
direkter vermittlerin beantwortet. die werke entspringen nicht etwa der 
oberfláchlichkeit überlieferter glaubenserklárungen, sondern vielmehr einem 
untrüglichen pantheistischen geist, der die verbundenheit mit der natur bezeugt 
|. levy, luxemburger wort, le 12 février 1982 
? les oeuvres de j.bewing signifient tout autant par la beauté et la force brutale de 
"acier modelé dans ses nervures, son cinétisme, sa ductilité, par leur cóté arrété et 
tuyant dans le profil et les soudures, que par leur évidence sacrale et magique, leur 
orésence propitiatoire. j'aime assez cette alliance où la matière et l'immatériel se 
“ejoignent comme l'ombre et la lumière dont sont hantées ces pièces que je disais. 
à l'occasion d'une exposition précédente, taillées dans l'airain. 
c. malans, luxemburger wort, le 24 avril 1987